L’or : ses secrets, ses propriétés, ses utilisations
Commençons par examiner l’or sous ses différents aspects afin de percer les secrets qui se cachent sous son éclat inimitable…
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Collier 2 rangs soleil et lune plaqué or
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Pendentif croix chrétienne en plaqué or
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Bague plaqué or soleil laque blanche
42.90 € Choix des options Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit
Pourquoi l’or est-il si précieux ?
On considère que l’or est un métal précieux pour au moins trois raisons : son origine, sa composition et ses qualités mécaniques, qui en font un matériau unique au monde.
- Constitué exclusivement d’atomes d’or, l’or appartient à la catégorie des métaux élémentaires, c’est-à-dire que lorsqu’il est à l’état natif, aucun corps étranger n’entre dans sa composition. Cette pureté étant, à elle seule, un gage de rareté, et donc de valeur.
- À l’origine, l’or provient du ciel, ou plutôt des étoiles. En effet, c’est de l’explosion d’une supernova ou de la collision entre plusieurs corps stellaires qu’est né l’or dans l’espace, il y a plusieurs milliards d’années, avant même la formation de la Terre. De quoi faire rêver des civilisations entières sur les pouvoirs de l’or : par exemple, les Incas lui attribuaient une valeur divine (et non monétaire).
- Inaltérable, l’or est résistant à la corrosion et est un excellent conductible électrique. Cette solidité à toute épreuve en fait un matériau… en or dans le domaine industriel, médical mais aussi bancaire.
Où trouve-t-on de l’or ?
Déjà présent dans l’espace au moment où se sont formées les planètes du système solaire, les atomes d’or font partie intégrante de la Terre. On les retrouve dans la composition du noyau, à partir desquels ils se répandent dans le manteau à l’état fluide puis échouent dans la croûte, où ils se solidifient sous forme de pépites ou de paillettes.
Selon de récentes estimations, la Terre contenait plus de 180 000 tonnes d’or lors de sa formation, un trésor déjà bien connu des Anciens puisque les Romains exploitaient des mines d’or en Espagne, les Égyptiens extrayaient leurs pépites des rives du Nil, les Aztèques d’un endroit connu d’eux seuls… Aujourd’hui, les ressources restantes d’or sont estimées à environ 50.000 tonnes, réparties entre l’Australie, la Russie, l’Afrique du Sud, les Etats-Unis et l’Indonésie. Cependant, il existe de nombreux endroits dans le reste du monde où il est possible de découvrir des pépites.
Remontant à la surface de la terre au fur et à mesure de son érosion, les minerais d’or sont souvent mélangés à d’autres minéraux comme le quartz (dans les fissures rocheuses), le fer ou encore la pyrite. De nombreux gisements se trouvent dans des cours d’eau, auquel cas on parle de rivières aurifères. Les particules alluvionnaires se concentrent dans les placers, c’est-à-dire le gravier au fond de la rivière, ou encore dans les marmites, qui sont des anfractuosités rocheuses.
En dehors des grands sites d’exploitation mondiaux, il est possible de trouver de l’or à peu près partout en France… ou presque ! Si vous avez envie de creuser, allez donc vous promener dans le massif armoricain… Autrement, vous pouvez miser sur l’or placérien, dans les cours d’eau bretons, normands, alpins, pyrénéens… Mais attention : l’orpaillage est une activité réglementée et interdite par endroits, pensez à toujours vous informer des règles locales en vigueur lorsque vous avez envie de jouer les chercheurs d’or ! De plus, même si l’or est moins rare qu’on le pense, il faut tout de même une certaine expérience et de solides notions de géologie pour le débusquer en amateur…
Quelles sont les utilisations de l’or ?
Grâce à son exceptionnelle résistance aux agents extérieurs comme l’eau, l’air mais aussi la plupart des particules chimiques existantes, l’or ne se ternit jamais. Seuls certains cyanures, le chlore gazeux et l’acide sulfurique peuvent l’attaquer. Mais encore faut-il les mettre en contact avec l’or ! D’une façon générale, l’inaltérabilité de l’or lui vaut aujourd’hui d’être utilisé dans quatre domaines principaux, en plus de celui de la bijouterie et de la joaillerie, comme c’est le cas chez Oriana France et ses bijoux plaqué or 18 carats avec une finition 24 carats, au travers de sa magnifique collection de bagues, colliers, boucles d’oreilles, bracelets, pendentifs et chaînes :
- l’industrie : pour la fabrication de réflecteurs (vitres sans tain, panneaux réfléchissants destinés à des modules spatiaux…) mais aussi en électronique de pointe (notamment pour la fabrication des microprocesseurs).
- La médecine : aujourd’hui, essentiellement pour la fabrication de prothèses dentaires. Autrefois, l’or entrait dans la composition de certains médicaments.
- L’artisanat : en particulier en joaillerie, en orfèvrerie, en horlogerie mais aussi en haute-couture, en enluminure, en ferronnerie et même dans la pâtisserie de luxe, sous forme de poudre d’or alimentaire !
- La finance: au début du XXIème siècle, les banques centrales mondiales étaient en possession d’un quart des réserves d’or de la planète, sous forme de pièces et de lingots. Coté en bourse, l’or est considéré comme une valeur refuge, c’est-à-dire immuable.
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Chaîne forçat diamantée plaqué or 1,30 mm
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Bracelet Agathe plaqué or
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Bague plaqué or branches de laurier croisées
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Or fin et alliages, quelles différences ?
En joaillerie, on rencontre rarement l’or à l’état pur. C’est de son alliage que dépendent à la fois sa valeur – selon la proportion d’or impliquée, indiquée en carats – et sa couleur – en fonction du métal auquel il est associé.
Les carats, qu’est-ce que c’est ?
L’or étant très malléable, il est difficile de l’utiliser seul, à deux exceptions près. Pour assurer sa solidité, on l’allie à différents métaux. La proportion d’or se calcule alors en carats, selon l’échelle suivante :
- 24 carats : c’est l’or à l’état pur, ou presque : à 99,9%. Sous forme d’or massif, on le retrouve uniquement dans les lingots. En effet, l’or fin est trop mou pour aboutir à la fabrication de bijoux, statuettes ou autres objets, qui seraient trop fragiles. Il serait impossible de s’en servir dans la vie courante… En est d’ailleurs pour preuve le trésor retrouvé dans la nécropole de Varna – des bijoux funéraires en or 24 carats, qui n’avaient été façonnés que pour accompagner le défunt au royaume des morts ! Par contre, si l’or fin est ainsi rarement employé pour modeler des bijoux en or massif, il joue un rôle extrêmement important dans les travaux de dorure, comme le plaquage.
- 18 carats : équivalant à 75% d’or, c’est l’alliage de référence dans la tradition joaillère française. En effet, dans cette proportion, l’or est renforcé par un métal dur (du nickel, de l’argent ou du cuivre), lequel met également en valeur son éclat naturel. C’est l’équilibre idéal entre le rayonnement propre à l’or et la solidité du métal de renfort… et, en joaillerie, le bijou parfait ! Ce n’est donc pas un hasard si, chez Oriana France, tous les plaquages sont réalisés avec de l’or 18 carats, qu’il s’agisse des bagues, colliers, boucles d’oreilles, pendentifs, chaînes ou pendentifs plaqué or :
- 14 carats : équivaut à 58,3% d’or pur. Moins prestigieux que le précédent mais de bonne qualité, cet alliage est utilisé pour la réalisation de bijoux au prix plus abordable.
- 9 carats : alliage contenant 37,5% d’or pur, souvent employé pour les bijoux fantaisie.
Alors, or massif ou plaqué or pour vos bijoux ? Le nombre de carats s’avère un indicateur important : en proportion, la concentration d’or pur dans une bague plaqué or 18 carats est supérieure à celle de la même bague en or massif 9 carats !
Or jaune, blanc ou rose : qu’est-ce qui change ?
C’est bien simple : plus l’or est pur, plus il est doré. Sa couleur naturelle, c’est le jaune ! C’est d’ailleurs la raison pour laquelle certains peuples anciens d’Amérique du Sud associaient directement l’or au dieu Soleil. Cependant, comme on l’a vu, l’or n’est presque jamais utilisé à l’état pur. Sa couleur d’origine peut ainsi être modifiée – ou nuancée – en fonction du métal auquel il est allié :
- Le nickel, le palladium ou l’argent associés à l’or donnent de l’or blanc. Les alliages à base de nickel – apprécié pour sa grande dureté, mais allergène – se retrouvent surtout dans les bijoux anciens. L’alliage d’argent et d’or est aujourd’hui le plus fréquent.
- Le cuivre offre à l’or une nuance qui peut aller du rose au rouge, en fonction de la quantité impliquée dans l’alliage (entre 20 et 25%).
- L’argent conjugué au manganèse et au cuivre transforment l’or jaune en or gris. Cette nuance, d’un blanc lunaire glacé, est très prisée dans la joaillerie contemporaine.
- Le cadmium était autrefois utilisé (dans une proportion de 5%) pour créer de l’or vert, une nuance insolite que l’on voit à certains bijoux anciens. Si vous avez une bague en or vert dans votre coffret, ce n’est pas parce que la monture s’est ternie – l’or est inaltérable – mais parce que l’artisan joaillier qui l’a créée l’a voulu ainsi !
- En ajoutant du gallium à l’or, on obtient… de l’or bleu. Une véritable garantie d’originalité pour un bijou, mais un risque d’allergie pour vous, car le gallium est allergène. Mieux vaut vous assurer que vous le tolérez bien avant de conclure l’achat !
- Sous forme de patine, le rhodium produit de l’or noir. De même pour le chrome ou le cobalt, à travers un processus d’oxydation. L’or noir, très prisé par les joailliers dans les années 2000, peut également être obtenu par galvanoplastie (électrolyse).
Doré, blanc, gris, bleu, vert, noir, rose… l’or 18 carats dans toutes ses nuances peut servir à réaliser des plaquages, vous permettant de varier les plaisirs… et les looks.
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Boucles d’oreilles pendantes plaqué or médaillons arbre de vie
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Brasage, feuille, dorure, bijou… comment l’or se travaille-t-il ?
La technique utilisée pour travailler l’or varie selon s’il s’agit de façonner des pièces en or massif ou de réaliser des dorures (comme dans le cas du plaquage).
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Boucles d’oreilles pendantes plaqué or 2 anneaux
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Bague lisse et perlée plaqué or
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Comment fabrique-t-on des objets en or massif ?
On parle d’or massif lorsque l’alliage d’or, qu’il soit blanc, jaune, rose ou gris, et quel que soit son nombre de carats, est utilisé seul pour le moulage de pièces de joaillerie, statuettes, pièces de monnaie, etc. La procédure est la suivante :
- la fonte de l’or est suivie du moulage des pièces à obtenir puis de la reprise de fonte, qui consiste à débarrasser les moulages de leurs imperfections.
- Le brasage consiste à souder les différents éléments ensemble à basse température.
- Pour finir, on recuit ensuite l’or afin de lui redonner sa couleur, en fonction de l’alliage qui a été utilisé.
La dorure, comment ça marche ?
Pour la dorure, qui consiste à revêtir un support en métal, bois ou verre de couches d’or, le choix de la technique dépend en grande partie du matériau à dorer (cadres, vaisselle, pièces d’orfèvrerie ou d’ameublement…), mais aussi du résultat souhaité.
La dorure du verre est obtenue par fusion. Pour la la dorure du métal, il existe pas moins de 5 méthodes… ainsi qu’une législation précise.
- Au XVIIème siècle, époque de la construction du château de Versailles, on dorait les surfaces métalliques en mélangeant l’or à du mercure en fusion, aux risques et périls des malheureux artisans. Une technique aujourd’hui interdite, car trop toxique.
- La technique de la mixtion est réservée aux objets de grandes dimensions, dans l’industrie ou l’architecture. Elle consiste dans l’application de feuilles d’or.
- Dans l’industrie, la méthode de la friction est privilégiée pour déposer de faibles quantités d’or (moins d’un micron d’épaisseur) sur les casques des astronautes ou des pompiers.
- La lamination consiste à chauffer puis à compresser l’or sur le métal de destination.
- Aujourd’hui, on recourt essentiellement à la méthode de l’électrolyse pour dorer les métaux de petites dimensions, notamment pour la fabrication des bijoux. C’est le cas pour les bijoux plaqué or Oriana France tels que les bagues, colliers, boucles d’oreilles, bracelets, pendentifs et chaînes. La pièce à dorer et l’or lui-même sont placés dans un bassin d’électrolyte (conducteur d’électricité). La pièce est reliée au pôle négatif, l’or au pôle positif. Il n’y a plus qu’à brancher les électrodes pour que l’or vienne se déposer sur le corps métallique de l’objet.
Or vermeil, plaquage, or laminé, dorure à l’or fin… de quoi s’agit-il ?
Le métal doré est une grande famille dont tous les membres ne sont pas égaux en matière de finition, qualité et, bien sûr, valeur. Même si la technique de dorure est la même presque à chaque fois – l’électrolyse, qui est à la fois efficace et économique – les résultats obtenus sont très différents. En termes de durabilité par exemple, un bijou en plaqué or est bien supérieur à un bijou doré à l’or fin ! Ainsi, on distingue :
- le plaqué or : un bijou en plaqué or n’est pas un simple bijou doré. Selon la législation, c’est un bijou dont la base en laiton a été recouverte d’au moins 3 microns d’or. En-dessous de ce seuil obligatoire, on ne parle plus de plaquage, mais de dorure à l’or fin. Plus le nombre de microns est élevé, plus le plaquage est de qualité et plus le bijou conservera sa finition impeccable dans la durée. Chez Oriana Bijoux, les bijoux sont en plaqué or 18 carats d’une épaisseur de 3 microns : une véritable garantie de qualité !
- Le vermeil : on l’obtient en plaquant de l’or sur une base en argent massif. Pour que l’appellation « vermeil » soit valide, l’argent doit être certifié 925 et le plaquage doit respecter la législation en vigueur, c’est-à-dire qu’il doit avoir au moins 3 microns d’épaisseur.
- La dorure à l’or fin : ce procédé de dorure consiste à appliquer moins d’1 micron d’or fin sur une base en métal, généralement en laiton. À ne pas confondre, donc, avec le plaqué or. Ne vous laissez pas non plus tourner la tête avec la mention « or fin » (c’est-à-dire 24 carats). En effet, l’épaisseur de la couche d’or est fondamentale pour la qualité à long terme de la dorure. En outre, on l’a vu, l’or fin est bien plus fragile que l’or 18 carats, qui est le fruit d’un alliage et est donc beaucoup plus résistant.
- L’or laminé, ou Gold Filled : à première vue, cette technique de dorure des bijoux, qui se targue de « remplir » (« Filled » en anglais) plutôt que de revêtir d’or, semble obtenir des résultats supérieurs à ceux du plaquage. Ce qui n’est pas forcément le cas. Tout d’abord, contrairement au plaqué or – réalisé avec de l’or 18 carats – le Gold Filled recourt à 12 ou 14 carats, donc à un alliage d’or moins concentré en pépites. Certes, en compensation, les couches d’or enrobant le noyau de laiton sont plus épaisses et, semble-t-il, plus solides. Cependant, l’or laminé a ses limites : il est le plus souvent produit sous la forme de filaments et non de plaques et s’avère difficile à façonner, puisqu’on ne peut ni le fondre, ni le marteler pour lui donner forme, sous peine de l’altérer. Ce qui explique sans doute qu’il ne suscite, au bout du compte, qu’un engouement limité auprès des connaisseurs !
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Comment distinguer l’or du plaqué or et vice-versa ?
Il existe trois indices qui vous permettront de distinguer un bijou en plaqué or d’un bijou en or : tout d’abord le poinçon, dont les indications sont clairement lisibles selon le code en vigueur sur le territoire français. Pour les bijoux fabriqués à l’étranger, ou dont la fabrication remonte à plusieurs décennies, il faut se rapporter aux directives de l’État ou de la période concernés. Ensuite, la consistance du métal doré vous apprendra s’il s’agit d’or ou de plaqué. Enfin, des irrégularités dans la dorure doivent vous orienter vers un plaqué or de moindre qualité (voire non conforme à la législation) plutôt que de l’or massif.
Décodez le poinçon
Commencez par le repérer. Le poinçon est généralement apposé sur l’envers d’un bijou : sur le verso d’un pendentif ou à l’intérieur d’une bague. Pour les colliers, les boucles d’oreilles et les bracelets, vous avez de grandes chances de le trouver à proximité du fermoir.
Selon la provenance du bijou en or ou en plaqué or, sa nature et le nombre de carats qu’il contient, le poinçon peut être de plusieurs types :
- carré avec des initiales et un numéro: indique que le bijou est en plaqué or. Les initiales sont celles du fabricant et les chiffres indiquent le nombre de carats qui ont été utilisés pour le plaquage. Cette information est essentielle pour que vous puissiez juger de la qualité de ce dernier, 18 carats représentant la proportion idéale.
- Marqué Oria ou Fix : désigne un bijou en or laminé (ou « filled Gold »).
- Un losange (pour les fabricants français) ou un ovale (pour les fabricants européens) : pour les objets en vermeil.
- Représentant un hippocampe ou un aigle dans un rectangle : ces poinçons sont réservés aux lingots en or massif (de respectivement 24 et 22 carats). Peu de chance que vous les retrouviez sur des bijoux !
- Avec une tête d’aigle : caractérise l’or 18 carats ; une coquille Saint-Jacques, l’or 14 carats ; un trèfle, l’or 9 carats.
Lorsque vous achetez un bijou en plaqué or, assurez-vous qu’il comporte bien un poinçon carré. C’est en effet une garantie importante, qui prouve que le bijou est revêtu d’au moins 3 microns d’or, selon les règles en vigueur. Un bijou doré dépourvu de poinçon pourrait être simplement recouvert d’or fin 24 carats, donc de moindre qualité et plus fragile. Ouvrez l’œil !
Enfin, l’existence du poinçon fournit un indice important sur la difficulté de distinguer à l’œil nu un bijou en or 18 carats d’un bijou en plaqué or 18 carats. En effet, si les artisans joailliers poinçonnent leurs bijoux, c’est parce que c’est souvent le seul moyen de vous renseigner sur leur composition ! Chacun des bijoux plaqué or Oriana France est poinçonné, qu’il s’agisse d’une bague, d’un collier, de boucles d’oreilles, d’un bracelet, d’un pendentif ou d’une chaîne. Ce qui veut dire que, pour le même nombre de carats, un bracelet en or massif fait autant d’effet que son équivalent en plaqué or. Bien malin qui saura les distinguer sans s’aider du poinçon !
Testez la consistance
Une astuce de grand-mère pour savoir si un bijou est en or massif ou en plaqué d’or consiste à le mordre. Si le bijou résiste, c’est bien qu’il est en or. En effet, ce métal est inaltérable et ne peut en aucun cas se laisser entamer par des dents, une lame…
Scrutez la dorure
L’or étant inoxydable, il ne peut s’altérer. Si vous notez des irrégularités sur une bague ou un collier en or, c’est sans doute qu’il est doré et non en or massif. Mais c’est surtout le signe d’un plaquage ou d’une dorure de mauvaise qualité – d’une épaisseur inférieure à 3 microns et/ou avec de l’or 24 carats, plus fragile que les alliages.
Moins coûteux que les bijoux en or massif, mais d’un éclat comparable lorsqu’ils sont de bonne qualité, les bijoux plaqué or méritent une place de choix dans votre coffret ! Vous l’aurez compris : la qualité d’un bijou en or ne tient pas tant au fait qu’il soit « massif » ou « plaqué », mais plutôt au nombre de carats et, pour les dorures, à leur épaisseur. Autant de caractéristiques auxquelles Oriana Bijoux prête une attention particulière.
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Bracelet plaqué or soleil sur laque noire
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